La Suite sur le polymorphisme

Le dernier « article » que j’ai fait, mentionnait le polymorphisme. Pour rappel, j’avais juste parlé du polymorphisme lié a l’alimentation et passé très rapidement sur le stress et la thyroïde.

Souvenez-vous, il y a le polymorphisme homozygote, hétérozygote, des anciens ou récent. Ces 4 notions peuvent être associé par 2 ou 3 (homozygote anciens ou récent, hétérozygote ancien et/ou récent, …).

Revenons sur le stress.

Eh bien, nous retrouvons dans les grandes lignes les polymorphismes homozygotes ou hétérozygote.

Le polymorphisme Val/Val ou GG

Celui-ci constitue la majorité dans la population.

Dans ces conditions, les personnes capables à s’adapter facilement au stress (pas moi ! 😊) et avec des bonnes capacités cognitives. De ce fait, une alimentation riche en protéine leur est nécessaire ainsi qu’une activité physique importante.

Le polymorphisme AA ou Met/Met

c’est le cas d’environ 20 à 30% des caucasiens, de toute évidence, je suis dans ce pourcentage 😉.

Ces sont des personnes qui ont une très bonne mémoire et attention mais quand elles sont stressées, elles perdent leurs moyens !

La relaxation ainsi que des outils de gestion sont très fortement recommandés.

Les hétérozygote Val/Met

Notons que ces personnes s’adaptent de façon aléatoire au stress.

Continuons sur la thyroïde

Avant toute chose, il faut savoir que pour connaître le fonctionnement de la thyroide, il faut s’intéresser a la TSH, la T4l et la T3l mais pas que …

Le polymorphisme génétique rend la conversion T4L (thyroxine) en T3 L (une molécule d’iode en moins : triiodothyronine) moins efficace. Sachant que la T3Libre est l’hormone active de la thyroïde et que la T4 est considéré comme une réserve de thyroglobuline.

Ici aussi, il existe 3 types de polymorphisme différents :

Le génotype sauvage TT homozygote :

Ces personnes sont capables de transformer la T4 en T3 facilement, avec une adaptation à l’alimentation sucré.

Le génotype CT hétérozygote :

La personne est peu touchée où à certains moments de leur vie (puberté, ménopause, grossesse, …)

Le génotype variant homozygote CC :

C’est la version ancestrale des chasseurs cueilleur. Ce sont des mauvais convertisseurs. L’alimentation riche en glucides n’est pas recommandée mais l’alimentation paléo est à privilégier.

Pour conclure sur la thyroïde et plus précisément sur leurs dosages. Pensez que les normes laboratoires ne reflètent pas les normes biologiques. Les résultats laboratoires ont été faits sur des personnes malades.

Si vous désirez connaître un peu plus sur votre thyroïde, écrivez-moi, je vous répondrai avec plaisir.

Des nouvelles !

..Bonjour à tous,

Je n’ai plus écrit depuis un moment mais je vais m’y remettre et de façon différente. Je vais le faire en discussion entre vous et moi.

Aujourd’hui, nous allons discuter du pouvoir non pas de l’attention mais de nos générations ancestrales.

J’ai appris très récemment que nos arrières arrières grands-parents pouvaient avoir un lien sur la digestion du lait et du gluten de notre corps ou sur votre stress. Vous allez me dire, comment ?

Et bien ! par l’histoire du polymorphisme de nos gênes. Notre ADN est fait de 2 brins, chacun constitués d’association d’acides aminés [la guanine(G), l’adénine(A), la thymine(T) et la cytosine(C)] ces derniers doivent être toujours associés de la façon : A-T et G-C mais quand il y a un polymorphisme le A est associé au G ou C et T aussi. Cette reconstitution désorganisée d’ADN sur un gêne va entraîner, un génotype (patrimoine héréditaire) homozygote (2 gènes identiques) ou hétérozygote (2 gênes différents).

Polymorphisme mononucléotidique (SNP) : (SNP=Single Nucleotide Polymorphism)

Les personnes homozygotes ont soit 2 gênes ancestraux ou 2 gênes récents (de notre temps). Si les 2 gènes ancestraux sont présents, le sujet ne va pas pouvoir digérer ou s’adapter à certaines transmissions de neurotransmetteurs comme la dopamine ou certaines inflammations.

Revenons au lait.

Certaines personnes ne digèrent pas du tout le lait et tous laitages de vache, elles ont 2 variantes génétiques ancestrales car les hommes préhistoriques ne savaient pas encore élever les animaux.

Ou à l’inverse, d’autres personnes ont les 2 variantes modernes, je vous laisse comprendre l’inverse.

Ma petite vache rigolote !!!

Les hétérozygotes ont la capacité de façon aléatoire de digérer les laitages de vache, c’est pour cela que des gens supportent que le fromage ou que le yaourt mais ne supporte pas le lait.

Tout ça, pour vous dire que si vous ne supportez pas le lait, que vous ne digérez pas le gluten ou que vous n’arrivez pas bien à gérer votre stress, cela peut être génétique.

Si toutefois, vous avez connaissance de votre polymorphisme, il est possible de l’améliorer grâce à quelques vitamines, complément alimentaire et/ ou a de la micronutrition.

D’autres recherches se font encore sur plusieurs types de polymorphismes. Ce n’est pas encore fini !!!

Rassurez-vous, d’autres raisons plus simples à votre stress ou à votre digestion difficile peuvent juste être régler grâce à la naturopathie et/ou à la chromatothérapie.

Voili, voilà.

Si vous avez des questions, écrivez-moi et je vous répondrai avec plaisir 😊.

LA MARGARINE BONNE POUR LA SANTE ?

Je prône le naturel et le « fait maison », comme ça, nous sommes sûr qu’il n’y pas d’additif. Si nous regardons la composition de la margarine : nous retrouvons quelques additifs.

LE PROCÉDÉ DE FABRICATION DE LA MARGARINE ?

Ces additifs vont agir comme structurant comme le E417 ou comme agent conservateur comme le sorbate de potassium.

Ces explications vous aideront à comprendre si la margarine est bonne à la santé ?

Le procédé de la Saponification :

  • C’est le fait de mélanger des corps gras (les huiles) avec de la potasse (ou des agents émulsifiants : la lécithine de soja).

A / Les étapes à la fabrication de margarine par les industriels .

  • Apport d’une double liaison hydrogène aux huiles pour une solidification, à passage d’une forme reconnaissable par le corps à une autre forme augmentant le risque cardio-vasculaire (les gras trans ou mauvais gras).
  • Mettre à chauffer les huile à 70°C
  • Ajouter des mono et diglycérides (E471) étant des perturbateurs de la flore intestinale è allergie, maladies auto-immune et/ou inflammations possible.
  • Ajout de colorant (naturel ?) et d’arômes (naturels ?)
  • Ajout de l’hydrocolloïde et ou de sorbate de potassium (E202) nécessaire à épaissir, gélifier et stabiliser.
  • Ajouter du sucre et des émulsifiants est une étape ajoutée à ce stade
  • Mélanger avec une possibilité d’ajouter des additifs (gout, arome, colorants) peuvent y être encore ajoutés.
  • Une fois le mélange fini, a lieu la pasteurisation (ou appertisation), chauffage à très haute température (~ 80°c) et à une vitesse très rapide (14 secondes).
    • Certaines huiles comme l’huile de colza, ne doivent pas être surchauffés, sinon elles deviennent cancérigènes.
  • Dernière étape : La cristallisation. Cette étape fait fonctionner un racleur qui tourne à grande vitesse, et malheureusement pour les huiles, il y a un maintien d’une très grande chaleur auprès d’elles.

Comme vous avez pu lire, faire une margarine industriellement demande beaucoup d’étapes, beaucoup d’additifs et une surchauffe de bonnes huiles.

LES BONS OMEGAS 3 ET 6 DANS LA MARGARINE ?

Vous allez me dire, « oui, il parle d’Omega 3 et 6 » ou du cholestérol ou du bon fonctionnement cardio-vasculaire. Toutes ces idées viennent de professionnel dans le marketing, car ils s’inspirent des huiles mises dans la fabrication. Effectivement, elles sont bonnes à la sante (comme l’huile de colza ou l’huile de lin) mais à condition qu’elles ne soient pas surchauffées ou accompagnées d’additifs.

Là, je vous ai parlé des huiles avec un procédé de fabrication basique mais l’ajout d’autres graisses peuvent y être ajoutés comme :

L’huile de palme, la graisse de coco ou de l’huile partiellement hydrogénée (tiens ! tiens !!).

L’huile de palme, alors ! oui ; les industriels prônent le bénéfice pour le consommateur du remplacement des huiles hydrogénées, à condition de n’être consommer qu’en petite quantité. Malheureusement, cette huile se trouve dans beaucoup d’aliments comme les viennoiseries, les biscuits industriels, la fameuse pâte à tartiner,…

Savez-vous que la pâte a tartiné n’est pas de la même texture dans différents pays. En Allemagne, cette fameuse pâte est dure. Ce qui fait ce produit mou et facile à étaler est : L’huile de Palme !

Alors ! Attention aux maladies chroniques pouvant apparaître !

Et n’oublions pas la déforestation !!!

La graisse de coco, Alors ! Alors ! Et ! bien, elle est top !!! Elle est bénéfique pour la perte de poids, pour une bonne circulation sanguine cérébrale, elle a aussi des propriétés antimicrobiennes et anti-inflammatoire et supporte les fortes chaleurs.

Des huiles partiellement hydrogénées, pas besoin d’explication, il suffit de revoir l’étape 1 de la fabrication de la margarine.

PAR QUOI REMPLACER LA MARGARINE ?

C’est vrai que par sa praticité, la margarine est un produit facile. Elle ne brûle pas, elle s’étale facilement, elle est moins calorique que le beurre, …

Mais il est toutefois meilleur à la santé de consommer du vrai beurre en baratte (au lait cru serait la panacée), de l’huile d’olive pour la cuisson ou du beurre de coco. C’est bon ! un poulet coco ! ou le Ghee (beurre clarifié).

Alors, la margarine bonne pour la santé ou pas ?

Un système immunitaire fort contre la Covid

Aujourd’hui, après être passée par des confinements, une instauration du pass sanitaire dans un temps limité et bien sûr la « vaccination », le coronavirus circule toujours !

Nous observons par les médias télévisés ou écrit, le nombre d’admis en hospitalisation ou le nombre de mort par jour liés au coronavirus. Ces informations nous transmettent la peur ! Et la peur nous diminue notre vitalité.

Dans cet article, je vous propose une méthode naturelle dans le but de rendre votre système immunitaire fort face à la covid-19.

Renforcer votre système immunitaire

Au commencement, il y a des astuces très simple à mettre en place. Ces actions vont servir à ne pas affaiblir votre système immunitaire. Et un des premiers actes : déstresser !!! Prenez le temps de vivre, prenez le temps d’être dans la plénitude et d’écouter le silence !

La deuxième étape est de contrôler l’état de votre microbiote, des cellules intestinales mal positionnées empêchent une bonne assimilation de bons nutriments et un état de santé correct.

Et une dernière étape, la respiration ! la respiration ! et la respiration. Pensez à respirer par le ventre et non pas par le haut du haut du corps. La respiration ventrale permet de calmer votre stress et d’oxygéner correctement tous les organes de votre corps.

Gérer son stress face au coronavirus

Le stress est une agression de l’organisme par un agent physique, psychique et/ou émotionnel entraînant un déséquilibre. Ce déséquilibre est compensé par un travail d’adaptation à longue durée par votre organisme et vous fatiguant.

Imaginez à ce moment, un mammouth vous courant derrière !!! Oui, je sais, vous allez me dire qu’il y en a plus en 2021 !!! Mais l’image est très vite compréhensible…Non ?!

Et ! bien ce mammouth vous coursant (à longueur de journée) fatiguera votre système immunitaire.

D’ailleurs, des chercheurs ont trouvé une corrélation biologique entre le stress et les récepteurs de l’adrénaline et de la noradrénaline (les hormones du stress). Si ces récepteurs sont trop utilisés (=trop de stress), les hormones du stress se lieront aux récepteurs et baisseront l’action du système immunitaire se situant dans le microbiote intestinal.

Fortifier votre microbiote intestinal

Le microbiote fait partie du système gastro-intestinal. Il est composé que de bonnes bactéries quand il y a un bon équilibre et elles vivent en symbiose, c’est-à dire en accord avec notre corps. D’ailleurs, cette dernière étant correcte permet de maintenir l’organisme en bonne santé.

D’ailleurs beaucoup de maladies partent d’un microbiote en « désordre » !

Le stress, un ou plusieurs facteurs externes (stress, malbouffe, pesticides, abus de médicaments, …) entraine une dysbiose intestinale.

Cela peut causer un dérèglement au niveau des globules blancs (dédies à la défense immunitaire).

C’est pour cela qu’il est important en premier lieu de se nourrir correctement, de gérer son stress par exemple avec la cohérence cardiaque, de la sophrologie ou tout simplement en faisant du sport (= défouloir).

De l’énergie et la covid

Alors, je vous rassure, je ne vais pas vous dire de vous brancher sur secteur !!!

Mais plutôt de faire le nécessaire pour que les cellules de l’énergie soient en bonne forme. Celles-ci se prénomment « les mitochondries ». C’est grâce à elles (entre autres) que la première ligne de défense fonctionne.

Mais, comment fait-on pour les maintenir en bonne configuration ?

Eh ! bien, je vous le dirai dans le prochain paragraphe …

Les compléments alimentaires et la covid

Reparlons des mitochondries (ou centrale à énergie).

Celles-ci vont s’oxyder et par ce fait ne plus fonctionner correctement s’il manque du glutathion. Le glutathion est un acide aminé stocké en grande quantité par les enfants. C’est d’ailleurs pour cela, que la gravité de la covid chez les bambins et adolescent est moindre.

Le glutathion est le roi des anti-oxydants et donne de la force aux mitochondries. Par ce fait, qui de plus est, de la force aussi à nos soldats défendant nos bronches.

Ensuite, une fois que vous avez fait le contrôle de votre microbiote et si votre naturopathe vous signale un dérèglement intestinal (ou une dysbiose), il sera nécessaire de procéder à une cicatrisation de votre flore intestinale et à un ré-encensement de bonnes bactéries par des probiotiques.

Toujours en prévention, il sera nécessaire de prendre du Zinc. Le zinc va servir à réguler la réponse inflammatoire en réduisant la production d’oxydation et activant l’activité des macrophages (petites cellules gobant les micro-organismes pathogènes ou les virus afin de les détruire).

Et le dernier pour la route, est la vitamine D. Nous avons tous besoin de vitamine D. Celle-ci joue le rôle dans les barrières de défense et régule la force de réponse de nos deuxièmes systèmes de défenses, le spécifique.

Vous souhaitez renforcer vos défenses immunitaires, ou tout simplement ne pas contracter le coronavirus.

 N’hésitez pas !!! Vous avez la possibilité de me joindre par téléphone (je serai disponible et à votre écoute).

LE SUCRE, CE DOUX ACIDIFIANT !

En 1850, la consommation de sucre était de 1kg par personne et par an. En 1960, la vente du sucre s’élevait à 32 kg et en 2017 à 33 kg par personne et par an. Ce qui revient à une consommation de 3 kg de sucre par jour et par mois.

Dans ces 35 kg, seul 10% sont sous la forme de « sucre en bouche ». Mais celle-ci ne reflète pas tous les aliments sucrés que nous mangeons.

Mais où sont passés les 90% restants ? Les sucres cachés ! Ceux qui acidifie notre organisme en faisant pencher l’équilibre acido-basique ou énerve nos enfants TDAH.

COMMENT DECELER LE SUCRE CACHE ?

Le sucre se trouve dans les aliments mais aussi dans les boissons.

Les industriels alimentaires afin de remplacer les additifs chimiques utilise le sucre. Mais était-ce une meilleure action ?

De plus, les industries chimiques et du médicament utilisent aussi le sucre. Par exemple, ne trouvez-vous pas les sirops pour vos enfants, trop sucrés ?

Le sucre ajouté se trouve aussi dans les pâtisseries, les desserts (lactés), les glaces et les gâteaux secs. Mais, il y a aussi l’alcool, les sirops, les jus de fruits, … qui en sont pourvus.

Un dernier sucre est à connaitre, celui des féculents comme l’amidon des pommes de terre, des pâtes et de la pâte à gâteaux (ou tartes).

QU’EST-CE QUE LE SUCRE ?

Avant d’annoncer quelques sucres existants, il faut tout d’abord savoir que le sucre est un glucide. Celui-ci est composé de carbones, d’hydrogène et d’oxygène.

Les glucides se divisent en plusieurs classes : les oses, les diosides et les polymères de glucose (plus de 2 osides).

LES DIFFERENTS SUCRES

Ils sont nombreux dont le saccharose.

 Le sucre en poudre ou saccharose est un dioside (2 molécules de glucose).

Le sucre blanc ou le sucre roux provenant de la betterave sucrière (96%) ou de la canne à sucre (4%) sont des saccharoses.

Ces 2 sucres sont doux en bouche, réhausse le goût des fruits, rentre dans la composition des gâteaux, édulcore les yaourts, …Mais sont néfaste à notre santé.

De plus ! Il y a sucre roux et sucre roux !!! Le vrai sucre roux est naturellement brun.

Le caramel peut être rajouté à votre sucre blanc (en morceaux ou en poudre), cette étape est faite afin de lui donner la couleur brune, typique du sucre roux.

Le sucre de canne complet ou Rapadura.

Traditionnellement, ce sucre est obtenu par évaporation du jus de canne à sucre, au soleil. Aujourd’hui, cette opération est très longue, par ce fait ce jus de canne est chauffé à haute température afin de réduire le temps d’évaporation.

Mais cette opération diminue la quantité de minéraux, toutefois quelques-uns ont résistés comme le potassium, le calcium, le magnésium, les vitamines B …

Le miel

Le miel est obtenu par la transformation du nectar.
Il est considéré comme un alicament. Il a effectivement des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, antibactériennes et antibiotiques.

Tous ces glucides (sucres) sont bons en bouche mais ont malheureusement un indice glycémique haut.

Rassurez-vous ! Le sucre de coco est une alternative !

Le sucre de coco provient de la sève des fleurs de cocotier.

Pour récolter sa sève, un récipient est placé sous la fleur et ensuite cette dernière est secouée. Une fois la sève recueillie, elle est chauffée afin d’évaporer son eau pour obtenir un liquide concentré. Le sirop de coco !

Enfin, pour obtenir le sucre de coco cristallisé, le sirop subit un frottement.

Heureusement, cet aliment à un indice glycémique de 24,5 et contient de nombreux nutriments (vit B, C, Potassium, …).

QU’EST-CE QUE L’INDICE GLYCEMIQUE ?

L’indice glycémique permet de comparer, des aliments qui renferment le même poids de glucide, en fonction de leur capacité à élever le taux de sucre dans le sang (glycémie).

Cette entrée massive de glycémie (haute) dans le corps déclenche la libération de l’insuline dans le sang. Là, une hypoglycémie en résulte et le cortisol fait son entrée. Ce dernier peut entrainer une inflammation et par conséquence une acidification de notre organisme.

Pour résumé, au moment du choix de vos aliments pendant vos courses, lisez les étiquettes d’ingrédients, ou quand vous faites des pâtisseries, préférez le sucre de coco. Si vous êtes diabétiques, que vous souhaitez perdre du poids ou tout simplement améliorez votre santé grâce à une alimentation saine et/ou dépourvue de sucre. N’hésitez à pas prendre contact avec moi ou DE réservER un rendez-VOUS.

LE SYNDROME DES OVAIRES POLYKYSTIQUES (SOPK) ET LA NATUROPATHIE

Vous êtes au moment, où votre horloge biologique vous fait un appel du pied pour être maman. Mais, voilà, après plusieurs essais non fluctuants, vous décidez de voir votre gynécologue. Et là, le verdict tombe : vous souffrez du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).

Peut-être un problème d’hormones, de poids ou biologiques ?

Qu’est-ce le syndrome des ovaires polykystiques ?

C’est un trouble endocrino-métabolique très répandu chez les femmes en âge de procréer . C’est la principale cause d’infertilité et d’absence d’ovulation.

Ce syndrome peut être bénin (par son faible degré) comme important. Il peut être détecté par le gynécologue en cas de grossesse attendue mais aussi fortuitement par un examen de routine.

Comment déceler le SOPK ?

L’hirsutisme, l’acné, des cycles irréguliers et longs, la chute de cheveux, … sont des« signes » concomitants pour détecter le syndrome des ovaires polykystiques.

Ces signes sont la démonstration d’une grande production d’hormone androgène, les hormones males qui bloquent la maturation des follicules en ovocytes.

A ce moment, pour vérification et si le diagnostic s’avère correct, une échographie révélera des kystes dans vos ovaires. Qui n’en sont pas réellement !

En fait, ces kystes sont des follicules arrivant en grands nombres (au moins 20), immatures et sans ordre.

Quelles sont les causes du Syndrome des Ovaires Polykystiques (sopk)?

Il s’avère que plusieurs causes mènent à la piste de ce syndrome, comme un dérèglement hormonal (surproduction hormone mâle), une résistance à l’insuline, un hyperinsulinisme ou un IMC important (obésité).

D’ailleurs, le côté épigénétique acquis au cours de la vie (la nutrition et le mode de vie) joue aussi un rôle dans ce symptôme.

Comment agir sur les causes du SOPK ?

Avant de vous lancer dans les opérations intrusives, des méthodes naturelles vous aideront et les bénéfices seront au rendez-vous. Mais comme tout prise en charge naturelle, celle-ci sera longue.

Voici quelques conseils pouvant déjà vous aider.

Revoir son alimentation

L’IMC élevé. est une des causes de ce syndrome. Il faut donc revoir l’hygiène alimentaire de la femme afin de faire baisser son poids.

Ce dernier trop important entraîne une inflammation dans le corps provoquant des difficultés à concevoir.

Equilibrer la balance hormonale

La régulation entre les hormones féminines (LH et FSH) et mâles (hormone androgénique) est à contrôler. Cet examen est nécessaire afin d’instaurer par la phytothérapie des plantes capables d’entrainer la maturation d’un follicule en agissant sur la progestérone.

Gérer le stress

Comme j’en parle dans mon article, sur le syndrome prémenstruel, le stress désorganise votre système hormonal par cascade et affaiblit la protection de vos cellules. De plus, le stress provoque une production de cortisol déréglant la balance hormonale et entraine une inflammation.

Avoir un bon sommeil

Toujours au niveau des hormones, la leptine est aussi responsable du gain de poids. Cette leptine suit un cercle vicieux car elle est stockée dans les cellules adipeuses, et c’est cette hormone qui nous donne faim.

Mais avoir un sommeil d’au moins 8 heures (la normale) et sans réveil nocturne normalise (en partie) le taux de leptine.

Eviter les perturbateurs endocriniens

Les perturbateurs endocriniens sont reconnues comme nos hormones par notre corps alors qu’elles sont des molécules extérieures. En les ingérant, ceux-ci vont interférer dans le bon fonctionnement du système hormonal et provoquer à la longue des effets néfastes pour notre corps, comme l’infertilité, la puberté précoce, le SOPK, …

Ces perturbateurs se trouvent dans les emballages plastiques, les textiles, les produits cosmétiques, …

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Vous souffrez de ce symptôme ou de toutes autres problèmes féminins, je suis formée pour accompagner les femmes de tout âge (règles douloureuses, endométriose, fibrome, SOPK, grossesse, ménopause, ostéoporose)

Alors, prenez contact avec moi

LA VITAMINE D ET LE CORONAVIRUS

Plusieurs pays dont la Norvège, l’Espagne, l’Angleterre ont fait des recherches sur le pouvoir de la vitamine D et le coronavirus. Plus de 70.000 volontaires se sont portés volontaires pour tester l’efficacité de… l’huile de foie de morue, (riche en vitamine D) à l’hôpital d’Oslo, des travaux ont été édités sur le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism en Espagne et l’Angleterre envisage de distribuer de la vitamine D à 2 millions d’habitants.

Et la France … Eh ! bien, le docteur Jean Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS de Marseille et docteur en biochimie, a publié plusieurs articles sur les effets la vitamine D sur le coronavirus.

Comment se procurer naturellement de la vitamine D ?

Par l’alimentation (10 à 20%) et surtout par la biosynthèse cutanée sous l’effet des rayons du soleil (~ 80%).

Cette vitamine D est aussi appelée « vitamine soleil » suite à la synthèse qui se fait avec le soleil ou plus scientifiquement : Calciférol. Mais elle a aussi d’autres noms qui la caractérise, tout dépend de sa source.

Si la source vient d’un animal, celle-ci prendra le nom de Cholécalciférol (ou vitamine D3). Si la source vient d’un végétal, la vitamine D prendra le nom d’ergocalciférol.

Nous n’avons pas de vitamine D2 dans notre corps. Mais apportée par l’alimentation (champignons, céréales et levures) et ingérée dans notre corps, celle-ci se transforme en vitamine D3 dans les couches profondes de notre peau grâce aux rayons ultra-violets du soleil.

Et la meilleure, pour nous, est la vitamine D3 !  Le cholécalciférol ! Si vous regardez l’étymologie du mot, nous retrouvons « cholé ». Petit mémo-technique : « cholé » pour cholé-stérol, qui celui-ci est nécessaire à l’absorption de cette vitamine dans notre organisme. Le cholestérol en bon équilibre est bon et nécessaire à notre santé (ex : le système hormonal)

La source alimentaire de la vitamine D3 est animale, la plus connue est bien sûr l’huile de foie de morue (250 000 UI dans une cuillère à café). Mais, rassurez-vous d’autres aliments comme le saumon, le maquereau, la sardine, les œufs en sont pourvus. Et celle-ci nous ai apporté directement transformée.

Quelles sont les propriétés de la vitamine D ?

La vitamine D intervient dans l’absorption du calcium et du phosphore par les intestins, ainsi que dans leur réabsorption par les reins.

Cette vitamine soleil intervient dans la minéralisation osseuse du squelette et des articulations, ainsi que sur la tonicité musculaire.

Elle prévient la décalcification osseuse, l’ostéoporose, le rachitisme  et aide à diminuer le risque d’hypertension artérielle.

La vitamine D protégerait de certains cancers ;

Mais surtout, elle a une action stimulante pour le système immunitaire. Elle est donc nécessaire pour toutes maladies hivernales ou non et même contre le coronavirus.

De plus, la vitamine D aurait une action sur la réparation de l’ADN.

Pour finir,  pour améliorer son action, il sera bon d’associer des aliments contenant de la vitamine A, C ainsi que du calcium et du phosphore.

Comment fixer la vitamine D dans notre organisme ?

Le soleil !

Les personnes d’un certains âges disent que ça fait du bien à leurs os. Eh ! bien, ils n’ont pas tort !!!

Le soleil va aider à la production de la calcitonine et donc à la reminéralisation osseuse.

Mais avant toute chose, il faut connaitre quelques règles à respecter pour que les rayons ultra-violets soient bénéfiques et non néfaste par une trop grande exposition.

Pour une meilleure préparation à l’exposition solaire, il est recommandé de préparer votre peau avec une alimentation pourvue de vitamine A (huile foie de morue), C (kiwis, fruits rouges), E (huiles de colza, fruits oléagineux) et antioxydantes (gingembre, pommes).

Il est conseillé de s’exposer pas plus de 15 minutes par jour et de préférence entre 13h et 15 heures. Vous allez dire, « oui mais ce sont les heures ou le soleil est le plus fort ! ». Oui, effectivement, mais si vous restez ce petit temps conseillé, pas de risque !

De plus, la crème solaire est déconseillée (je vous rappelle que vous restez sous le soleil environ 15 minutes) car elle diminuera l’entrée des ultra-violets dans votre peau.

Un dernier conseil, les jambes ou les bras nus suffisent à capter la quantité nécessaire de rayons ultra-violet afin de fixer la vitamine D dans notre organisme.

Pas besoin de faire un bronzage intégral !!!

Quelle supplémentation prendre en vitamine D ?

Si notre alimentation en poissons s’amoindrit suite aux saisons et que le soleil caché de novembre à mars nous fait défaut. A ce moment, la supplémentation est la bienvenue.

Le dosage de la vitamine D sera à déterminer avec votre naturopathe car cela dépendra de votre état de santé.

Quelles sont les effets d’un surdosage de la vitamine D ?

La vitamine D est effectivement nécessaire à notre bonne santé comme tout aliment et toute hygiène de vie. Tout est une question d’équilibre et de bon dosage.

C’est pour cela qu’il ne faut pas dépasser la dose de 20 OOO UI (unité international) par jour sur une longue période. Sachant que 1 microgramme de vitamine D équivaut à 40 000 UI.

Quand la dose est dépassée, des signes cliniques apparaissent comme une soif inhabituelle, une sensibilité des yeux, des démangeaisons, des vomissements, de la diarrhée, des envies pressantes d’uriner, des dépôts calciques anormaux dans les vaisseaux sanguins, le foie, les poumons, les reins et l’estomac.

SE SOULAGER LES REGLES DOULOUREUSES AVEC LA NATUROPATHIE

Pendant vos règles, vous souffrez de crampes, de ballonnements, de nausées, de vomissements, voir des vertiges. Ces manifestations peuvent venir d’un dérèglement hormonal et la naturopathie est d’une grande efficacité pour enrayer ce problème.

Les femmes ne sont pas linéaires car en plus d’avoir leurs émotions, elles ont leurs hormones qui les fait : ETRE !

Mais il faut aussi apprivoiser ces hormones, pour qu’elles soient tranquilles et de ce fait soulager les règles douloureuses.

RAPPEL SUR L’ANATOMIE FEMININE

Progestérone : hormone et santé naturelle

Le cycle féminin commence le premier jour des règles par une phase oestrogénique qui est gérée par l’hormone FSH (hormone folliculostimulante) et se termine au 14 -ème jour, là où se produit le pic de LH (Leasing hormone). Ce fameux pic indique le jour J de l’ovulation. Cette étape va aussi signer l’arrêt de la phase pré ovulatoire.

Au 15 -ème jour, la phase post ovulatoire va démarrer par une production de LH fabriquent de la progestérone nécessaire à une future grossesse.

Si toutefois, il n’y a pas grossesse, de nouvelles menstruations font leurs apparitions. Et le cycle recommence.

LA SOURCE DES REGLES DOULOUREUSES

Les règles douloureuses comme pour le syndrome prémenstruel est causé par un déséquilibre hormonal, entre l’œstrogène et la progestérone. Il y a un excès d’œstrogène!

Remède naturel pour le déséquilibre hormonal

A ce moment ce surplus d’œstrogène peut provoquer de l’irritabilité, des insuffisances veineuses et/ou de la rétention d’eau. C’est cet dernier désagrément qui provoque une congestion au niveau du bas ventre : les crampes.

LA NATUROPATHIE ET LES REGLES DOULOUREUSES

La naturopathie a pour rôle de voir de façon holistique une personne. De cette manière, le naturopathe considère pendant le bilan vital de la consultante s’il y inflammation et/ou crampes, si les cycles sont réguliers et les signes androgéniques présents.

Comme en premier lieu et à chaque fois, l’état des émonctoires de la personne ont de grandes chances d’être encrassées. Afin d’éliminer leurs toxines, il est nécessaire d’avoir un foie en bon état de fonctionnement.

Le foie

Précédemment dit, il y a présence d’un excès oestrogénique (l’estradiol).

IL faut l’éliminer, vous allez me dire !

Eh ! bien, le foie a, entre autres, le rôle de capter et éliminer de notre organisme les toxines ou les trop pleins hormonaux (comme l’estradiol).

 Le microbiote

La flore intestinale joue aussi un rôle important !

Au début de l’article, sur l’anatomie féminine, il était question d’hormones (l’œstrogène et la progestérone). En complément avec le travail du foie (détoxification), le microbiote va jouer son rôle dans l’élimination du surplus de l’estradiol, dans l’organisme.

L’hygiène alimentaire

Une fois de plus, il faut faire attention à votre alimentation. Il y a 2 catégories d’aliments, les acidifiants et les basifiants. Là, tout est encore une question d’homéostasie (équilibre).

Attention : L’alimentation saine est pourvue de micro-nutriments nécessaire à la bonne santé de l’organisme mais certains aliments sont pro-inflammatoires comme l’huile de tournesol.

Le stress

Il est aussi une des grandes causes à la douleur des règles. Celui-ci durant une longue période entraîne une production de cortisol. Celui-ci dérèglera le système hormonal. A ce moment, il est bon de pratique une activité sportive, du yoga, de la méditation, de la cohérence cardiaque …afin d’éliminer le stress, les tensions et nous détoxiquer.

La phytothérapie

Les plantes sont de bons alliés pour rééquilibrer la balance hormonale, diminuer les inflammations et/ou les douleurs.

Pour cela, le framboisier en gemmothérapie est LA plante de la femme, le curcuma pour les inflammations et la mélisse pour les douleurs spasmodiques.

LE SYNDROME PRÉMENSTRUEL ET LA NATUROPATHIE

Quand les menstruations vont arriver, certaines femmes ne sont pas dans leurs assiettes. Les hommes nous disent qu’on est de mauvaises humeurs ou « ça y est, tu vas avoir tes règles ». Comme si forcément, les douleurs physiques ou psychiques étaient forcément liées à nos règles.

Rassurez-vous messieurs ! La naturopathie accompagne les femmes dans leurs troubles féminins tels que le syndrome prémenstruel.

MAIS QUESAKO LE SYNDROME PRÉMENSTRUEL OU SPM ?

Ce syndrome est un ensemble de manifestations congestives et œdémateuses additionnés à des troubles plus ou moins graves de l’humeur.

Rappelons que les femmes sont cycliques donc ces symptômes ne se présentent pas tous les jours. Ouf ! Heureusement pour nous. Dans un cycle « normal » de 28 jours, ces symptômes peuvent apparaître 2 à 7 jours avant les règles (parfois jusqu’à 14 jours).

En général, ces symptômes disparaissent à l’arrivée des règles.

QUELS SONT LES CAUSES DU SYNDROME PRÉMENSTRUEL ?

Les causes sont dues à un déséquilibre de la balance hormonale. Chaque femme doit être équilibré au niveau de la sécrétion de l’œstrogène et de la progestérone. Ce déséquilibre + une fluctuation hormonale engendrera un syndrome prémenstruel.

Cette réponse anormale est déclenchée par une alimentation inadéquate (lait de vache, viande, sucre raffiné) c’est-à-dire n’apportant pas suffisamment en oligo-éléments et, en excès d’excitants comme le sucre, la caféine et l’alcool.

Parmi les facteurs favorisant le syndrome prémenstruel, le stress est aussi une cause importante, surtout vers l’âge de 30 à 40 ans.

Le manque d’activité physique est aussi défavorisant pour le déséquilibre hormonal. Pour cela, il est bien de pratiquer du sport.

QUELLES SONT LES SYMPTÔMES DE CE TROUBLE ?

Les symptômes les plus fréquemment relatés sont les céphalées, la mastodynie (seins douloureux), les ballonnements, les troubles circulatoire, les mycoses ou des infections urinaires.

Comme précédemment écrit dans les causes, les hormones sont touchées ! A ce moment, la femme peut être soit en manque de sérotonine soit en manque de catécholamine. Ce qui se traduit soit par de l’irritabilité, de l’agressivité ou alors la survenue d’idée noire ou de la tristesse.

COMMENT AGIR SUR LES CAUSES DU SYMPTÔME PRÉMENSTRUEL  ?

 REVOIR SON ALIMENTATION

Afin de repartir sur de bonne base, il est conseillé de détoxifier le foie. Après cette détoxification, il est nécessaire de changer son alimentation.

En tout premier lieu, pensez à éliminer les produits transformés ou ultra-transformés. Supprimez le sucre raffiné et le gluten.

Il faut aussi stopper le tabac et diminuer au maximum l’alcool.

Par contre, afin d’apporter le nécessaire à votre organisme, il est bon de consommer des aliments équilibrés en oméga 3 et 6 : petits poissons des mers sauvage, huile de colza à 1ere pression à froid et les œufs et les noix pour les omégas 3.

Il est aussi nécessaire d’éviter les eaux de robinets (résidus pilules dans eau) et les aliments non-organiques (fait à partir de la chimie à ex : cordon bleu).

Il est aussi nécessaire d’avoir une bonne flore intestinale car celle-ci peut se retrouver « mélangée » à la flore vaginale. Pour cela, pensez à bien vous hydratez et à manger des fibres et des aliments nourrissant correctement votre microbiote intestinal afin qu’il n’affecte pas le microbiote vaginal.

SE SUPPLÉMENTER EN PHYTOTHÉRAPIE

En plus de l’alimentation, les plantes sont d’une grande aide, conseillée personnellement et suivant les troubles se présentant dans le syndrome prémenstruel.

Le naturopathe après un bilan vital va déterminer la plante nécessaire au cas par cas. Il va déterminer s’il y a une hyper-estrogénie, de la rétention d’eau, des troubles circulatoires, de l’acné, des mastoses, des terrains inflammatoires, …

Dans ces cas, la vigne rouge, l’artichaut et le radis noir, la bardane, le gattilier et d’autres plantes spécifiques peuvent être conseillées. De façon aussi naturelle, la boisson aloé Vera cranberries peut aider.

L’ACTIVITÉ SPORTIVE

On ne le redira jamais assez, le sport est nécessaire !

Effectivement, l’activité physique va jouer un rôle dans la régulation du système hormonale. C’est pour cela, qu’il est nécessaire de bouger. Marcher, nager, promener le chien, courir pour le plaisir, … Pendant minimum ½ heure ,3 fois par jour.

GÉRER LE STRESS

Le stress désorganise votre système hormonal par cascade et affaiblit la protection de vos cellules. Il est donc aussi nécessaire d’agir à ce niveau. La cohérence cardiaque, le développement personnel et la phytothérapie fonctionnent très bien.

Si vous souffrez de ce symptôme, je suis spécialisée pour la santé féminine de l’adolescence et la ménopause.

LA COVID-19 ou la sortie du confinement

Aujourd’hui, nous sommes en zone verte dans la période 1 de l’après-confinement, mais celle-ci ne veut pas forcément signifier que tout est fini. Oui, c’est un virus qui s’affaiblit de jour en jour et oui, les personnes les plus fragiles : sont une meilleure cible pour ce virus.

RAPPELONS CE QU’EST LE CORONAVIRUS :

Le coronavirus est comme son nom l’indique : un virus.

Il va préférer s’installer au niveau de la zone broncho-pulmonaire pour se transmettre d’une personne à une autre (ex : éternuement). Cette contamination se fait par le contact étroit entre une personne contaminée et une personne saine. Elle peut se faire dans un foyer, en regroupements d’amis (ou non), sur un lieu de travail ou dans un établissement de santé.

Comme nous avons aussi été « martelé » par les informations et les spots à la télévision, plusieurs symptômes font comprendre, qu’il y a peut-être contamination. Ces symptômes les plus courants sont : les troubles respiratoires, la fièvre, la toux, l’essoufflement et des difficultés respiratoires. Là est le cas de la maladie, le plus facilement soignable.

Les cas les plus difficiles sont où il y a une pneumonie entraînée par une infection, un syndrome respiratoire aigu sévère ou une insuffisance rénale .

QU’EST-CE QU’UN VIRUS ?

Un virus est une entité très petite, impossible à voir au microscope électronique. Il ne possède qu’un seul type d’acide nucléique : l’acide désoxyribonucléique (ADN) ou l’acide ribonucléique (ARN) qui constitue l’ensemble des chromosomes et des gènes d’un individu.

Et justement, le virus se reproduit grâce à leur matériel génétique et par réplication, pour se reproduire en parasitant nos cellules. Ils sont très fort pour cela.

Il est aussi doté d’une capside protéique en périphérie protégeant son acide nucléique et parfois d’une enveloppe formée de spicules (= petit pics) servant à la fixation.

QU’EST-CE QUE LA NATUROPATHIE PEUT FAIRE ?

La naturopathie peut aider à rebooster les défenses immunitaires de la personne et calmer notre mental qui a été lobotomisé par les médias.

Eh ! oui, les informations, c’est bien, mais à petite dose. L’avalanche d’informations sur la covid, les hospitalisés et les décédés tous les jours ont installé les gens dans une psychose démoralisante voire dépressive.

Alors, voici quelques idées afin d’aller mieux, que ça soit du côté physique que psychique.

GÉRER LE STRESS A LA SORTIE DU CONFINEMENT ?

Il existe une méthode simple et gratuite : la cohérence cardiaque. Le stress est une des grandes causes de l’affaiblissement du système immunitaire.

Effectivement, l’état de stress déclenche la production du cortisol qui lui stimulerait la production de cytokines (cellules défenseurs) et entraînerait des phénomènes inflammatoires chroniques. Et de ce fait, fatiguerait avant l’heure, notre système immunitaire.

Vous n’êtes pas fan de la cohérence cardiaque ! Il y a le Yoga, la méditation de pleine conscience, l’activité physique, les exercices de sophrologie et de relaxation à votre portée!

Si vous désirez en savoir plus sur la cohérence cardiaque, je vous invite à aller voir cet article .

AIDER A OBTENIR UNE BONNE HYGIÈNE DE VIE ?

Une bonne hygiène de vie commence par une bonne alimentation !

Oui, mais quelle alimentation privilégiée ? Tout est encore question d’équilibre acido-basique de notre corps.

Afin de ne pas affaiblir notre organisme par le pouvoir acidifiant de ce que nous mangeons. Il est impératif de consommer beaucoup de légumes et des fruits entiers. La meilleure façon d’améliorer leurs assimilations (surtout les légumes) est de les boire. C’est-à-dire d’en faire des jus à l’extracteur. Il faut aussi évincer au maximum tout produits raffinés, tout produits à base de lait de vache et tout aliments contenant du sucre ajouté. Commencez par cette hygiène alimentaire reboostera la flore intestinale (le microbiote), la flore intestinale a un rôle important pour un système immunitaire, en pleine vitalité et une santé forte.

Toutefois, il y a quelques aliments à privilégier :

Ceux contenant de LA VITAMINE D, comme les poissons gras (saumon, thon, …), les œufs, le foie et les champignons. La vitamine D est reconnue pour ses bienfaits sur notre santé osseuse ainsi que notre système immunitaire.

C’est évidemment le soleil qui principalement permet à note corps de la synthétiser.

Ceux contenant du ZINC comme les fruits, les légumes et les produits de la mer. Le zinc participe au bon fonctionnement du métabolisme digestif, de la préservation de la vue, de l’odorat et du goût et sur la force du système immunitaire.

Ceux contenant du FER. Non ! mangez des boîtes de conserve ne vous apportera pas de fer et contrairement à ce qu’on pourrait croire, les épinards de Popeye ne sont pas plein de fer.

Les aliments en contenant le plus sont : les légumineux, les algues, les légumes et la viande. Ce minéral est nécessaire à la bonne fixation de la vitamine C et B. Mais le fer intervient également dans de nombreuses réactions enzymatiques et favorise les défenses immunitaires.

Ceux contenant les aliments riches en VITAMINE C. La vitamine C est un puissant anti-oxydant, c’est-à-dire qu’elle piège les radicaux libres produits par notre organisme.

Par son action « antivieillissement », la vitamine C a un aussi un rôle dans le bon fonctionnement dans le système immunitaire.

Faites toutefois attention à la cuisson de vos aliments. Privilégiez à la vapeur car l’eau (bouillante) fait perdre la vitamine C ainsi que l’épluchage de certains légumes et fruits.

D’ailleurs cette vitamine se trouve bien évidemment dans l’acérola, dans le cassis, les poivrons rouges et verts, les agrumes et les légumes faisant parti de la famille des choux. (Pas à la crème!!!  )

Bien mangez n’est pas tout ! Une bonne hygiène de vie est aussi liée à un sommeil réparateur.

PROGRAMMER UN BON SOMMEIL PAR LA NATUROPATHIE?

Il sera tout aussi important de dormir suffisamment car c’est pendant le sommeil que le corps se régénère et opère ses fonctions de réparation et de récupération. Une suite d’opérations se met en marche la nuit ; c’est pendant ce temps que nous fabriquons l’hormone de croissance nécessaire au renouvellement cellulaire et au bon développement tissulaire, (en particulier dans les muscles : réserve principale de glutamine) essentielle pour notre immunité.

Pour favoriser ce bon sommeil, il sera intéressant d’identifier les causes d’un mauvais sommeil et d’y remédier.

Mais en attendant, il est tout à fait possible de s’accompagner de fleur de Bach. Il y en a quelques’ unes qui sont intéressantes comme la star de Bethleem, le Rock Rose, le Mimules, le Crab Apple, le Red, …

ACCOMPAGNER AVEC LA PHYTOTHÉRAPIE  POUR LA SORTIE DU CONFINEMENT?

Comme vous l’avez compris depuis le début de l’article, il est important de booster notre système immunitaire. Et la nature peut nous aider !

Une plante est très forte pour cela : l’échinacéa purpura. Cette plante stimule, protège et renforce les défenseurs de notre organisme.

Pour les enfants, le cassis est une bonne alternative car il a meilleur goût.

La phytothérapie aide dans plusieurs domaines comme entre autres le stress, les angoisses ou le sommeil. A ce moment, il est possible de prendre des plantes aux propriétés sédatives et anxiolytiques bien connues, comme la Valériane, la Passiflore mais également l’Escholtzia.

ACCOMPAGNER AVEC LES HUILES ESSENTIELLES ?

Le contact entre nous revient à la normale et peut-être nos habitudes tactiles !

A ce moment, il est recommandé d’utiliser l’huile essentielle de ravintsara par sa formule stimulant le système immunitaire associé au Tea tree. Le Tea tree est un atout : anti-infectieux, antibactérien et immunostimulant. Et si la peur ou le risque d’être contaminé par la covid est fort, vous pouvez rajoutez de l’eucalyptus radié ayant les propriétés anti-infectieuses, antibactérienne et antivirale plus spécifiquement sur les voies aériennes supérieur.

Ces 3 huiles essentielles peuvent être utilisées de différentes manières :

Elles peuvent être diffusées, mis en application sur le thorax ou le bas du dos (endroit très innervé du corps) ou pris par voie orale.

Les huiles essentielles ont des principes actifs puissants, il est donc impératif de demander conseils à votre naturopathe ou aromathérapeute.

VOUS MOTIVER A FAIRE DE L’EXERCICE PHYSIQUE ?

Pourquoi vous motiver pour le sport ?

Le sport exercé de façon modérer est bénéfique pour la santé sur de nombreux points. Tout d’abord sur le sommeil, car l’exercice physique pratiqué régulièrement comme la course à pied, entraîne une sécrétion d’endorphine (hormone antalgique et anxiolytique) et apporte un bénéfice contre l’anxiété, la dépression.

L’activité physique modérée a aussi un impact sur le système immunitaire et plus exactement sur la grande famille des leucocytes (les globules blancs) : les polynucléaires neutrophiles, les monocytes et les lymphocytes. Toutes ces cellules, par le sport modéré vont augmenter en nombre et œuvrer pour défendre notre organisme de toute attaque contre nous.

De plus, plusieurs études confirment l’hypothèse selon laquelle l’exercice modéré exercerait un effet favorable sur l’incidence des infections respiratoires.